Ils apportent cependant des garanties de pérennité aux solutions métiers (intranet, BI, gestion du contenu et des connaissances…).
Selon le périmètre choisi, le centre de compétence interne pourra être responsable
- des études techniques
- de l'intégration des nouveaux projets relatifs à son expertise
- réaliser de la veille technologique
- être l'interlocuteur de référence face aux intégrateurs et aux éditeurs
- émettre de la documentation et formaliser le référentiel du projet
- assurer le support et l'administration.
Le dernier enjeu majeur concerne le financement d'un tel centre de compétences.
Mobiliser à plein temps ou à mi-temps des ressources métiers, en plus d'une fonction support, ne peut se justifier qu'avec la mise en place d'indicateurs de performance et d'un suivi régulier de la qualité de service rendu. Ses données seront à comparer avec une bibliothèque d'informations réalisée par les équipes projets et recensant le savoir-faire.
Reste que pour remplir des tâches cruciales comme la standardisation de l'architecture, la formation ou le maintien de règles métiers, les centres de compétences se montrent plus efficaces qu'un livret de bonnes pratiques.
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